Une idée reçue…

Contrairement à l’idée reçue et bien ancrée dans les esprits de beaucoup de dirigeants, la croissance seule n’est pas gage de pérennité pour l’entreprise…

Certes, sans croissance, pas d’avenir, mais sans pilotage de cette croissance nous allons le voir, il n’y a pas d’avenir non plus !

Cela peut paraître surprenant, et à juste titre, car c’est quand même un paradoxe pour une entreprise de constater qu’en raison de la croissance, elle risque de se retrouver en cessation de paiement, donc de déposer son bilan.

 

Pourquoi la croissance peut-elle conduire tout droit au dépôt de bilan ?

Tous simplement parce que quand la croissance se fait sentir, l’entreprise reprend des commandes. Elle doit donc acheter des matières premières, embaucher des salariés de plus en plus difficiles à recruter, investir dans des machines, bref, elle voit ses coûts augmenter.

Parallèlement, la crainte de voir le courant d’affaires lui échapper après des années de crise a un effet négatif sur les conditions de paiement qui s’allongent.

Et si ces délais sont trop longs, ou elle n’est pas payée dans les délais, le pire étant que les délais déjà longs soient aggravés par des retards de paiement, l’entreprise se retrouve en difficulté car face aux charges à payer, elle n’a pas la trésorerie prévue.

Du coup, même si les retards de paiement tendent à se réduire, il est particulièrement compliqué de savoir quelle facture sera payée ou non, ou quand ou pour quel motif elle n’est pas payée (voir l’article de de L‘Usine Nouvelle [ http://bit.ly/2F41Yts ] qui démontre que « plus d’une facture sur sept émise par les PME reste bloquée dans les systèmes informatiques des grands groupes, entrainant des retards de paiements de plusieurs jours ».

Résultat ?

Comme le dit Pierre Pelouzet, médiateur national des entreprises :  “Chaque jour voit en France 30 à 40 PME cesser leur activité en raison de retards de paiement”

Que faire alors face à une telle situation ?

 

  1. La première chose à faire est de piloter son BFR et sa trésorerie de manière réaliste, c’est-à-dire sans optimisme démesuré quant aux prévisions de facturation et d’encaissement, de prévisions de paiement fournisseurs et / ou de niveau de stocks.
  2. La seconde est de surveiller la régularité des paiements – à la fois clients et fournisseurs.
  3. La troisième est d’envisager une solution de financement de factures fournisseurs par l’affacturage. Là aussi, il faut trouver la solution correspondant à son besoin.

L’expertise d’Easytresorerie

Et c’est justement là que easytresorerie peut aider les entreprises en les conseillant et en les guidant vers la meilleure solution de financement de facture en fonction de l’activité de la société, de sa taille, du volume de factures considéré, et de tout un tas d’autres facteurs qu’il convient de voir en détail et au cas par cas.

L’essentiel à retenir, et le côté positif des choses, est qu’il existe des solutions face à ce type de problématiques induites par la croissance d’une entreprise.

N’hésitez pas à nous consulter, nous sommes là pour vous aider.